Retour en Grèce

Après un voyage de toute une journée, ambiance succession d’aéroports, dont Londres « Gatwick », ou le changement d’avion nécessite de parcourir pratiquement à pied la moitié de plusieurs terminaux…  signe de représailles du Brexit ? ;

nous voici enfin parvenus à destination en arrivant au port à sec de « Cléopâtra Marina » , tout proche du soulagement et normalement des retrouvailles avec notre voilier « Salouti ² ». Parvenus à l’emplacement de notre voilier, Jean Mi se rend compte qu’il aurait peut-être dû relire plus attentivement le dernier mail reçu du port… le bateau n’est plus là !

Autour de nous dans cette belle nuit, au clair de lune, environ un bon millier de bateaux sur des rangées et des rangées… Bon, retour à la case gardien du parc, alias « Sauveur », qui nous délivre le sésame : rangée «  P ».

Il y est ! L’hivernage ne l’a pas fait souffrir, bonne joie de le retrouver.

 

Wally
Wally
Les jours suivants, tutto va bene à bord, carénage et nettoyage font bon ménage, avant le jour de la mise à l’eau prévue pour mardi.

Si c’est toujours un peu l’émotion de voir son bateau suspendu dans le « travel-lift », tout se déroule au mieux, et bientôt les quilles sont à l’eau.

Dès le début d’après-midi, gentiment au portant, on part explorer le golfe d’Ambracique. Un ravissant mouillage, presque désert, ourlé de collines d’oliviers alentour nous accueille et j’entrevois déjà une fructueuse cueillette d’asperges sauvages se profiler ! C’est le moment précis choisi par la pompe des toilettes pour signaler un refus de fonctionner… démontage et bricolage… viennent à bout du problème,

Les asperges attendront demain !

 

Wally
Wally
La descente vers le sud du Péloponnèse passe par les îles qui ont notre préférence : Kalamos, Meganisi, Ithaque.

De nouveau, l’évidence : entre ciel et mer, entouré d’horizons mouvants, changeants, de terres et montagnes, sur un bateau,

on est dans la beauté des choses, en plein dedans. Joie.

Wally
Wally
Wally
Wally
Wally
Wally